Le Canadien  Camp d’entraînement

8

Nombre de pays représentés parmi les joueurs au camp, selon le lieu de naissance. Par nations, ça donne un Suisse, un Danois, un Slovaque, deux Tchèques, deux Suédois, trois Russes, 18 Américains (dont Tim Bozon, né à St. Louis, et Francis Bouillon, né à New York) et 36 Canadiens.

— Guillaume Lefrançois, La Presse

Le Canadien  Camp d’entraînement

Comme on se retrouve…

Le défenseur Greg Pateryn retrouve ces jours-ci Mac Bennett au camp du Tricolore. Les deux hommes formaient la paire à la ligne bleue des Wolverines de l’Université du Michigan il y a quelques années. À l’époque, Pateryn était clairement le défenseur défensif parmi les deux tandis que Bennett était plutôt chargé de déplacer la rondelle. Bennett sursautera peut-être en voyant à quel point Pateryn a amélioré son jeu offensif l’an dernier en mettant à profit son puissant tir. « Mac a changé lui aussi lors des dernières années et je suis excité de voir ce qu’il a à offrir, a commenté l’arrière de 24 ans. Ce serait le fun qu’on ait l’occasion d’être jumelés durant un match intra-équipe ! »

— Marc Antoine Godin, La Presse

Le Canadien  Camp d’entraînement

À bas les stéréotypes !

Les vétérans du Canadien étaient conviés hier à leurs examens médicaux et à une batterie de tests physiques, de la course navette à des exercices de puissance et de flexibilité. Les gardiens devaient se soumettre aux mêmes tests que les patineurs, et ce, même si leur travail est considérablement différent. « Pendant le camp d’entraînement, il y aura des étirements et des exercices plus spécifiques à chaque position, a décrit le gardien Dustin Tokarski. Il y a ce stéréotype que les gardiens n’ont pas besoin d’être en bonne forme. Mais au bout du compte, le but de ces tests est de montrer à la direction que tu as travaillé fort pendant l’été. »

— Guillaume Lefrançois, La Presse

Le Canadien  Camp d’entraînement

Le deuil de Gallagher

Comme plusieurs de ses coéquipiers chez le Canadien, l’attaquant Brendan Gallagher a été surpris d’apprendre au cours de l’été le départ de deux vétérans très respectés dans le vestiaire, Brian Gionta et Josh Gorges. « Oui, ce fut difficile, a-t-il commencé par dire. Ces deux gars-là étaient des amis, et ces deux gars-là m’avaient beaucoup aidé depuis mon arrivée avec l’équipe. En même temps, je comprends ce côté du hockey et je comprends qu’il y a plusieurs facteurs qui sont considérés quand une décision comme celle-là est prise. »

— Richard Labbé, La Presse

Le Canadien  Camp d’entraînement

La journée en chiffres

Voici quelques chiffres de ce jour 0 du camp d’entraînement du Canadien.

14

C’est le niveau qu’a atteint Lars Eller à la course navette, un exercice qui consiste à courir entre deux points avec de moins en moins de temps pour y parvenir. Eller a été le meilleur du jour, mais n’a pas pu égaler la marque de 14,5 de Jiri Sekac, qui a obtenu le meilleur résultat au camp des recrues.

28

Le nouveau numéro qu’arbore Nathan Beaulieu, qui a donc délaissé le 40. Le défenseur a expliqué avoir porté le 28 « toute sa vie ». Beaulieu est le premier numéro 28 du CH depuis l’attaquant Joonas Nattinen, que l’on a très, très brièvement vu à Montréal l’an passé. Il est le premier défenseur depuis Karl Dykhuis à le porter.

7

Le défenseur Alexei Emelin a perdu sept livres par rapport aux mesures prises l’an dernier. Il fait maintenant osciller la balance à 217 lb. Avec un gain de 6 lb, David Desharnais est celui qui a pris le plus de poids. Dans son cas, le pèse-personne indiquait 176 lb.

255

À 6 pi 8 et 255 lb, Joe Finley est à la fois le joueur le plus grand et le plus lourd parmi les 64 participants au camp. Choix de premier tour (27e au total) des Capitals de Washington en 2005, Finley a signé un contrat de la Ligue américaine avec le Canadien. L’an dernier, il n’a pas joué dans la LNH, mais a disputé 29 matchs à Bridgeport, dans le club-école des Islanders de New York.

18

À 18 ans, le Russe Nikita Scherbak, premier choix du Canadien en juin dernier, est le plus jeune joueur au camp. Présent à titre d’invité, Francis Bouillon fait figure d’aîné, à 38 ans. Bouillon, Mike Weaver et Andrei Markov sont d’ailleurs les trois seuls joueurs nés dans les années 1970.

— Chiffres recueillis par Guillaume Lefrançois, La Presse

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